Wrap végétarien, tortilla à la farine de maïs et non-stop alimentaire

En adepte de finger food, j’apprécie tout ce qui se mange à la main, et qui peut préparer à table, selon ses préférences. Un peu comme la crêpe party (J’espère que vous avez passé une bonne chandeleur au passage !). C’est l’occasion de partager un repas convivial, où tout est préparé à l’avance, et où l’on ne passe pas son temps en cuisine. Mes soirées favorites sont évidemment celles où l’on mange, vous l’aurez compris.
J’ai (eu ?), un problème alimentaire. Je ne saurais le nommer, mais qui relève de l’obsession ! Heureusement, cela ne me pose plus de problème maintenant, j’ai appris à gérer ça, ce qui n’a pas été simple…

• Paquet de gâteaux et tablettes de chocolats sous le matelas que je dévorais la nuit.
• Paquet d’un kilo de biscuits Eco+ que je dévorais en rentrant de l’école, avant d’arriver à la maison !
• Je n’omets pas le pot de Nutella à la petite cuillère, les 5-6 burgers lors des visites aux fast-foods et autres catastrophes sanitaires !

Cependant, je digérais tout, et assez facilement d’ailleurs.
J’ai la chance d’avoir un métabolisme assez efficace, et de ne jamais avoir été en surpoids. Malgré tout, cela se ressentait sur ma santé : Épisodes de rhumes très réguliers, peau grasse, bronches encombrées, fatigue chronique, problèmes rénaux… À force d’ingérer autant de nourriture, mon corps s’épuisait à la digestion, et comme j’étais très active, je m’épuisais doublement. À force d’absorber autant de produits modifiés, matières grasses hydrogénées, féculents… mon corps s’encrassait (humeurs, foie, reins, poumons…).

La prise de conscience

Et puis BIM ! En m’installant seule, j’ai arrêté d’être dépendante de mon généraliste (aussi gentil soit-il) et de ses ordonnances bien trop chargées d’antibiotiques et autres joyeusetés masquant les symptômes pour mieux faire revenir la maladie dès le traitement passé.

Peut-être, vous reconnaitrez-vous dans ces lignes. J’ai commencé à comprendre qu’il était temps de bouger mes fesses, et d’arrêter le massacre. Bien sûr, ce fut long, et assurément, il y a eu d’inquantifiables rechutes. Mais aujourd’hui, je sais dire non à une part de gâteau lorsque je n’ai pas faim, à un paquet de chips, à un aliment qui ne respecte pas mes convictions et même à la fameuse mamie « Tu reprendras bien un peu de choucroute avec ta paella ? ». Oui, je suis devenue sans cœur…

L’encrassement dû au non-stop alimentaire

Les troubles alimentaires sont de vraies maladies qui sont malheureusement peu prises au sérieux, tant qu’elles ne posent pas de graves problèmes de santé. Mais pourquoi attend-on autant avant de traiter ce problème ? Mystère. Il y a un tabou certain autour de ces pathologies.
J’en reviens au but de ma réflexion : chez moi, tout ça ne se voyait pas de l’extérieur. Malgré tout mon corps, mes organes, mes humeurs… étaient encombrées.

Vous avez peut-être entendu parler de toxémie, intoxination, intoxication (que je réserve personnellement pour les intoxications par des toxiques) encrassement humoral, Tox-Sang-Lymphe… tout ça, c’est la même chose. À force de lui mettre des aliments douteux dans sa face, votre corps va s’imprégner de déchet qu’il n’assimile pas (peut-être avez-vous entendu parler de cristalloïdes et colloïdes ?) et qui l’empoisonne.
(Si vous n’êtes pas plein d’énergie, passez directement au paragraphe 2).

Le mécanisme

1 : Si vous êtes plein d’énergie, votre corps, en machine bien huilée va essayer de virer tout ça illico. Il utilisera diverses méthodes (pas toujours hyper sympa). Allez HOP : les éruptions cutanées, boutons divers, eczémas… Les maladies d’éliminations telles des rhumes, bronchites, angines chroniques… Mais encore les fabuleuses diarrhées (ça y est, on est intime au point de parler caca), catarrhes… Tout ça de manière ponctuelle, puis chronique, si l’on ne fait rien.

2 : Viendra le moment où l’organisme sera trop épuisé pour se battre, et arrivera le flot de symptômes plus gênants (Kystes, tumeurs bénignes ou non, fibromes…), des maladies plus graves et récurrentes, et éventuellement, l’endommagement des organes vitaux.
Alors non, non et non, vous ne voulez pas en arriver là. Au cas où vous soyez un peu perdu, je compte développer le sujet à travers plusieurs thèmes, au fil d’articles prochains.
En attendant, pourquoi ne pas regarder ensemble une recette de wrap sain et végétarien ? Une façon de partager un repas convivial. Vous déposez tous vos ingrédients sur la table, chacun se sert, chacun mange en fonction de ses préférences ! Voilà comment réconcilier végéta*iens et carnivores à table.

Et sinon bon appétit ! ( ˘▽˘)っ